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HOMME BON SE COMPORTERAIT-IL AINSI ?
A l’époque de Jésus, les opinions divergeaient quant à sa véritable nature – et plus de 2 000 ans plus tard, peu de choses ont changé. Les opinions sur Jésus varient : certains Le considèrent comme un enseignant sage, un prophète ou un leader moral, tandis que d’autres Le reconnaissent comme le Fils de Dieu. Ce désaccord n’est pas nouveau. En fait, Jean 7.43 nous dit : « Il y eut donc, à cause de Lui, division parmi la foule. » Cette division persiste aujourd’hui encore.
Beaucoup reconnaissent l’existence historique de Jésus et son influence morale, mais ils ne croient pas en sa nature divine.
Jésus n’est pas une figure neutre. Par Ses propres paroles et actions, Il incarne une ligne de démarcation dans l’histoire humaine – littéralement et spirituellement. Son arrivée a divisé le temps en av. J.-C. et ap. J.-C. Sa présence continue de diviser les familles, les religions, les cultures et les personnes.
Ainsi, la vraie question n’est pas de savoir si Jésus était un homme bon, mais plutôt : Est-ce qu’un homme bon dirait et ferait les choses que Jésus a dites et faites ?
Un instrument de division, pas seulement un artisan de paix
Jésus Lui-même a averti que Sa venue apporterait des conflits. Dans Matthieu 10 :34-35, Il déclare : « Ne croyez pas que Je sois venu apporter la paix sur terre ; Je ne suis pas venu apporter la paix, mais l’épée (de division). Oui, Je suis venu mettre la division entre l’homme et son père, entre la fille et sa mère… »
Cela peut sembler étrange à nos oreilles modernes, mais Jésus soulignait la division inévitable qui surviendrait lorsque les gens devraient choisir de Le suivre ou non. Il n’y a pas de terrain neutre avec Jésus. Il force une décision : Messie ou imposteur ? Sauveur ou charlatan ?
Que disait réellement Jésus ?
Si Jésus n’était qu’un homme bon ou un prophète, on s’attendrait à ce qu’Il nie d’être de nature divine. Or Il ne l’a pas fait. Au contraire, Il a affirmé à plusieurs reprises Son identité en tant que Dieu incarné.
Dans Matthieu 16 :15-16, Jésus demande à Ses disciples ce qu’ils pensent de Lui. Pierre répond : « Tu es le Christ, le Fils du Dieu vivant. » Jésus ne le corrige pas. Au contraire, Il l’approuve : « Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce n’est pas une pensée humaine qui t’a révélé cela, mais c'est mon Père céleste. » (v.17)
Un homme simplement bon n’aurait pas permis qu’on l’appelle le Fils de Dieu. Mais Jésus l’a pleinement approuvé.
Le grand "JE SUIS"
Dans Jean 8:58, Jésus déclare aux pharisiens : "Avant qu’Abraham fût, JE SUIS." Ce n’était pas une simple figure de style. Il utilisait le nom sacré que Dieu avait employé en parlant à Moïse au buisson ardent. Jésus affirmait clairement être Dieu éternel. Une fois encore, ce ne sont pas les paroles d’un humble maître ou d’un simple prophète. C’était soit un blasphème… soit la vérité.
Le Pain de Vie
Dans Jean 6, Jésus accomplit le miracle de nourrir 5 000 personnes avec quelques pains et poissons. La foule, émerveillée, Le cherche ensuite pour en avoir davantage. Mais au lieu de leur donner à manger, Jésus déclare : "Je suis le pain de vie. Celui qui vient à Moi n’aura plus jamais faim…" (Jean 6:35)
Déclarations directes sur Sa divinité
Quand Il rencontre la Samaritaine au puits (Jean 4), Jésus ne dissimule pas Son identité. Lorsqu’elle évoque le Messie à venir, Il lui répond : "Je le suis, Moi qui te parle." (Jean 4:26)
Dans Jean 9, après avoir guéri un aveugle de naissance — un miracle incontestable — Jésus retrouve l’homme et lui demande : "Crois-tu au Fils de Dieu ?" Quand celui-ci demande qui Il est, Jésus répond : "Tu L’as vu, et celui qui te parle, c’est Lui." (Jean 9:35–37).
Comment réagissons-nous à tout cela ?
« Vous devez faire votre choix. Soit cet homme était, et est, le Fils de Dieu, soit c’est un fou, ou pire encore… Mais ne proférons pas des absurdités condescendantes en disant qu’Il était un grand enseignant humain. Il ne nous a pas laissé cette possibilité. » – C.S. Lewis
Jésus n’a pas été vague ou imprécis sur ce qu’Il prétendait être. Il a affirmé être Dieu. Il a promis la vie éternelle.
Si ce n’est pas vrai, Il n’est pas un « homme bon » – Il est le pire des imposteurs. Mais si c’est vrai, alors Il est le seul être digne de notre adoration, de notre obéissance et de notre abandon total.
Jésus n’est pas simplement une figure historique ou un enseignant sage. Il est soit un menteur, un fou, ou le Seigneur. Il n’y a pas de terrain neutre.
Votre décision concernant l’identité de Jésus – pas seulement dans votre tête, mais dans votre cœur – est la plus importante que vous puissiez jamais prendre !
Et pour vous, qui est-Il ?